L’ordre, le désordre. La discipline, l’indiscipline. Soumission, rébellion. « Eduquer les enfants » est une tâche difficile. Que doit-on leur transmettre ? Et comment ? Les « élever » au dessus de quoi ?

Suite à la proposition enthousiaste de l’auteur, nous avons décidé en tant que comédiennes, chanteuses et musiciennes de monter cette pièce . Parallèlement à la création mise en scène avec le metteur en scène Jean-Claude Gal, nous avons souhaité proposer une version «légère» accessible à partir de 10 ans et faisable dans n’importe quel lieu sous forme de lecture théâtralisée.

Elles sont deux, mais en fait trois : Émilie Cadiou au chant, à l’accordéon, compositions et textes, Ode Bouttard au chant, à la contrebasse, et la Wood Beat Box (WBB). Une platine habillé de bois, de boutons, de pions aimantés que les musiciennes déplacent sur la platine qui tourne… Une trouvaille sonore bricolée par le collectif toulousain, Faux Départ.

LA PETITE GUINGUETTE 

est un bal familial ou jeune public.
 Une sélection de chansons accompagnées de chorégraphies simples : 
De la plus banale à la plus personnalisée, du cercle circassien au rock, de la valse au funk débridé, seul en duo ou avec tous... 
Un fil rouge qui bouge.
Avoir envie de danser tous ensemble.
 Le rythme s'accélère au fil du concert.
On finira synchrones, les coeurs à l'unisson. Et on chantera peut-être aussi...

La Cie Chien Caillou, avec le soutien de l’association pour la Mémoire d’Eysses, propose une présentation vivante et émouvante de cette œuvre : Deux comédiennes et un accordéon, un petit cabaret et une plongée au cœur de cette histoire extraordinaire et mal connue.

Lecture à deux voix commandée pour le festival les tréteaux de la Bastide septembre 2017 Je suis d’un naturel curieux. Disons que je m’intéresse à tout. Aux petits détails aussi, aux curiosités qui donnent au quotidien de la fantaisie et de la poésie. Ainsi lorsque m’a été donnée carte blanche pour la lecture qui va suivre, j’étais en plein émerveillement et recherche face à un phénomène dont je ne mesurais pas encore l’ampleur : les chaussures perdues ...